Ostraenia : la forêt des fées
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Ostraenia : la forêt des fées


 
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 Ayana

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MessageSujet: Ayana   Ayana Icon_minipostedLun 28 Jan - 13:46

Nom:

Tori

Prénom:

Ayana

Age:

17ans

Race:

Humaine

Emploi:

Dragonniéreapprentie donc? )

Caractére:

Ayana est une pauvre créature réservée et timide, qui favorise les gestes aux paroles inutiles…
Cultivée, calme, réfléchie, posée, elle est considérée comme une personne fiable, de confiance et d’une rare intelligence… malheureusement ce côté parfois distant, extrêment rêveur, peut la faire passer pour une personne froide, inaccessible et certains pensent parfois qu’elle se croit supérieure ce qui est loin d’être le cas.
Au contraire, elle se sous-estime grandement et manque cruellement de confiance en elle…
Ce petit bout de femme est d’une extrême sensibilité et bourrés de complexe et de troubles… même si elle masque habilement tout cela derrière une expression généreuse et pleine de bonté... Expression trompeuse ne laissant absoluement pas présager ce qu'à vécu cette jolie demoiselle...
Toutefois, si beaucoup s’imaginent que vivre près d’elle est une chose platonique, qu’ils se détrompent car, lorsqu’elle se sent en sécurité, elle se libère et se transforme complètement devenant un être énergique, plein de vie et gaieté, bourré d’humour et plutôt taquine… qui aime à faire l'enfant...
Néanmoins ce spectacle n’est pas offert à qui veut car on peut affirmer sans se tromper qu’il s’agit de quelqu’un de méfiant, qui cherche à se protéger de son mieux que ce soit en se barricadant derrière une façade, ou en masquant son chagrin derrière un discret sourire qui sera évidemment faux…
Elle ne parle d’ailleurs jamais d’elle, ni de son passé, évitant le sujet au maximum et en se trouvant de brusques occupations, comme par hasard urgentes, lorsque l’on s’avise d’insister…
Il lui arrive toutefois de laisser s’échapper de vagues informations mais cela la plonge généralement dans un état soit de colère, soit de gêne et ces yeux se mettent étrangement à briller…
Elle préfère fuir plutôt que d’affronter bravement son histoire…
Elle garde en elle une profonde rancune qu’elle ne parvint ni à exprimer ni à étouffer… elle continue donc à bouillonner en elle sans qu’elle ne parvienne à s’en défaire…
Fragile, elle ne pleure néanmoins qu’en de rares occasions… du moins pas publiquement, réservant ses sanglots à son malheureux oreiller, refusant de faire pâtir son entourage de pleurs inutiles… D’ailleurs elle a appris à relativiser et s’est beaucoup endurcie ces dernières années, même si elle ne reste au fond, qu’une petite fille brisée à la recherche d’espoirs et d’affection…
Mentalement, on pourrait la définir comme forte et courageuse… et son comportement fait que l’on s’appui volontiers sur elle, au risque inconscient de l’anéantir totalement…
Elle joue l’adulte, la personne solide et déterminée mais rare son ceux qui s’aperçoivent de sa véritable nature et capte l’ampleur et l’origine de son trouble…
Ayant grandit trop vite, et étant déjà prédisposée à par son quotient intellectuel supérieur à la normal, c’est une jeune fille extraordinairement instruite pour son âge qui peut parler avec aisance aux adultes, et intégrer la société sans aucun problème grâce à sa maîtrise d’elle-même, des mots et de la connaissance…
Elle s’exprime étrangement bien ce qui la fait parfois paraître plus vieille qu’elle ne l’est véritablement, ce que ne dément pas son regard sans doute trop profond…
Trop souvent soumise à l'autorité, elle n'est pas vraiment friande de réglements, qu'elle respecte de son mieux malgré la liberté qu'elle réclame...
Elle tente désespérément de ne s’attacher à personne, ce à quoi elle ne parvient absolument pas puisqu’elle à une certaine propension à se prendre d’affection pour le premier venu et à réclamer la sienne… Elle ne se rend même pas compte de ce besoin presque vital d’amour ni de son désir ardent d’en obtenir les preuves irréfutable…
Et oui, comme toute adolescente… comme toute femme en soit, dirais-je même, elle est complexe et si elle aspire plus que tout à être apprécié et aimé… lorsque quelqu’un lui avoue son ressentit, ou lui montre un peu d’intérêt elle ne parvient pas à y croire et à même tendance à se braquer, songeant que l’on se moque d’elle…
En générale de toute façon elle ne va pas directement vers les gens, trop hésitante, trop craintive et effrayée à l’idée d’importuner tout le monde, ce qui est peut-être la raison de sa vie sociale plus que limitée… Oui, elle aime à se faire discrète, là encore ne voulant pas que sa compagnie puisse embarrasser x ou y…
Contrairement aux lycéennes de son âge, elle ne souhaite aucunement sortir chaque soir et se défoncer à l’aide de substances toutes plus illicites les unes que els autres… D’ailleurs elle a l’alcool en horreur…
Elle est bien trop mature pour cela mais ne méprise pas les autres pour autant, car c’est une jeune femme tolérante et compréhensive.
Généreuse, elle ne repoussera jamais une personne dans le besoin et cherchera à apporter son aide même au dépit d’elle-même, désireuse de se faire aimer… bien que cela n’a eu d’autre effet que celui que des gens malintentionnés se servent d’elle…



Physique:

Ayana est une jeune fille de taille relativement petite pour son âge mais qui correspond parfaitement à sa corpulence… Fine et menue, cela ne l’empêche pas d’avoir des formes généreuses là où il faut et comme il faut… Génereuses mais pas extravagantes non plus...
Sa silhouette gracieuse, svelte a engendrée beaucoup de jalouses parmi les adolescentes prônant le régime et presque l’anorexie qui la voyait manger sans se préoccuper de maintenir sa ligne…
Disons que s’il y a des gens prédestinés à être mince et beau… elle en fait partie…
Son physique en vérité est assez particulier… Je dirais qu'il est à l'image de la lumière qui habite ce corps charmant... désirable, et ce bien malgré elle d'ailleurs…
Ses cheveux fins et soyeux, entre le marron foncé et le noir clair sont inégalement coupés et possède de jolies reflets plus lumineux…
En outre, elle détient deux mèches plus longues que les autres avec lequelles elle a la mauvaise manie de jouer sans même s'en rendre compte…
Une frange indisciplinée, coupée là encore d'une façon qui est tout sauf stricte, à l'image de sa personne, vient barrer harmonieusement son front...
Ses yeux d'un vert émeuraude sont profonds et l’on croit souvent pouvoir si perdre tant ils sont envoûtants et expressifs, ce qui ne l’enchante pas…
Ses prunelles ont quelque chose d’hypnotisants et brillent d’une lueur mystérieuse et inexplicable… quoi qu'on y apperçoit sans mla la gentillesse et la douceur...
Elles reflètent également un grand savoir, brillant d’intelligence, ainsi qu’un vécu anormal à son âge lorsqu'elle ne prend pas garde à le masquer…
Son nez est petit et mignon, ses lèvres sont plutôt pâles et ses iris, que ces longs cils ne peuvent que faire ressortir davantage, les mettant prodigieusement bien en valeur notamment grâce à la complicité d’une peau laiteuse et d’un teint nacré, ont quelque chose de captivants qui fait que l’on a bien souvent du mal à détacher son regard du sien lorsqu’ils prennent une teinte de sérieux et d’intensité…
L’adolescente ne sourit pas souvent mais lorsqu’elle le fait, dévoilant une dentition aussi parfaite que le reste de sa personne, c’est tout son doux visage qui s’illumine et l’on est forcé de s’enthousiasmer aussi tant il est contagieux… Malheureusemetn, il exprime plus souvent une discrète tristesse qu'un réel bonheur...
En soit sa physionomie est remarquablement plaisante et des plus séduisantes…
Une apparence à la fois vulnérable et à la fois secrète la rendent attirante et font converger les regards sur elle, même si elle ne le cherche pas, bien au contraire…
Même son uniforme de lycéenne ne parvient pas à ternir ses courbes délicieuses…
Que pourrais-je bien ajouter à part que son visage est très expressif même si elle essaye péniblement de rester impassible et neutre ? …

non, alors ses sourcils se froncent facilement, elle sait sourire, mais c'est contre son carctére, alors ca ne lui arrive pas souvent.


Dernière édition par le Lun 28 Jan - 14:01, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Ayana   Ayana Icon_minipostedLun 28 Jan - 13:47

Histoire:

Racontée par Ayana en personne...


Je suis née il y a déjà seize années de ça dans une petite ville reculée du Japon portant le nom d’Obihiro.
A l’époque l’endroit n’étant pas très grand et bien peu développé en comparaison à ce qu’il est aujourd’hui mais il y eu par la suite une sorte boum économique et démographique et sa situation actuelle en a résulté… Finalement c’est devenu un coin plutôt réputé dans la région…
Mais ici, je ne vais bien sûr pas raconter l’histoire de ce lieu, de toute façon j’y ai passé trop peu de temps pour en vanter les mérites, non ici, je vais vous parler de ma vie…
Oh, ce n’est pas ce qu’on peu qualifier d’intéressant, de plus on ne peut pas affirmer qu’elle fut longue et exemplaire, vous n’apprendrez certes rien en lisant ceci, mais j’éprouve aujourd’hui le besoin de le faire… allez savoir pourquoi…

Comme je vous l’ai dit je suis née à Obihiro par une nuit chaude d’été, un certain 17 du mois de juillet…
Dans la pièce où ma mère se délivra enfin après huit mois et demi d’une grossesse pénible et douloureuse, l’air était devenu irrespirable et les températures suffocantes de ces dernières semaines n’étaient pas les seules fautives…
La pauvre femme, une jeune française, haletait, le souffle court, tandis que les contractions se rapprochaient.
Près d’elle mon père, vieillit de dix ans soudain, son visage émacié reflétant une profonde angoisse, qui attendait, immobile, tenant dans sa main celle tremblante de son épouse pour lui donner le courage d’affronter sa souffrance…

Sept heures déjà que le travail avait commencé… ce qui était sans doute la raison de leur inquiétude croissante.
A se train là, ma génitrice ne tiendrait pas. Je n’étais pas pourtant pas la première…
Il y en avait eu deux avant moi : Minoru, Kamika… mais ils n’avaient pas causés tant de tracas, eux… ils étaient arrivés rapidement et en moins de deux heures, l’affaires était réglée…
Pour moi c’était différent…

Mais les efforts vinrent finalement à bout de ma résistance…
Sans doute avais-je décrété qu’il faisait bon vivre dans cette poche d’eau et qu’il n’y avait aucune garantie d’être mieux logée une fois sortie… peut-être soupçonnais-je déjà mon avenir et n’étais-je pas pressée de le vivre…
Quoi qu’il en soit, je fus bien forcée de m’avouer vaincue et dans cette course pour la vie… la vraie vie, seule qu’on savoure…, je fus la seule perdante… enfin, seule... pas tout à fait... je ne pouvais l'être en sachant que j'étais accompagnée d'ores et déjà d'un petit garçon : mon jumeau...

Nos premiers cris furent étouffés par le bruit assourdissant du Tonnerre… L’orage venait d’éclater après deux semaines au cours desquelles on l’avait prédit une bonne vingtaine de fois, alors qu’on ne l’attendait plus…
Malgré ça même les gouttes de pluies enfin libérée n’apportèrent pas le rafraîchissent que l’on promettait…

Il semblait que le ciel pleurait notre venues au monde, ayant sans doute connaissance du destin que l’on nous réservait…
La voûte céleste se fendait, illuminée violement dans un fracas effrayant comme si les Seigneur manifestait par là toute sa colère et son désarroi péniblement contenu…
Dehors… ça se déchaînait … et dedans on osait à peine respirer, admirant les petits êtres rosés éclairés par intermittence de cette couleur vive, propre aux éclairs, qui venait d’apparaître et celui qui nous avait fais don de la vie m’appela Ayana et baptisa l'autre bébé Hiro, lui qui se réservait le privilège de nos prénoms…

Mais inutile de m’attarder sur les premières semaines de mon insignifiante existence… Je fus allaitée et j’étais d’ailleurs plutôt gourmande d’après les dires de la famille…
Un nourrisson tout ce qu’il y a de plus normal qui avait la particularité de sourire à tout bout de champ… et qui pleurait chaque fois qu'on osait la séparer de son jumeaux...
Un lien très fort nous unissait déjà...

A la maison, nous n’étions pas riches et ma mère dut rapidement reprendre son travail de couturière, avant même la fin de son congés maternité…
Mon père, petit ouvrier dans l’industrie de forgerons, ne gagnait pas énormément non plus, mais c’était un travailleur émérite… et il enchaînait les heures supplémentaires pour faire vivre ce petit monde…
Il restait courageux et digne même s’il savait son poste menacé par le chômage comme tant d’autre…
Et oui, la mécanisation et l’informatisation n’était pas pour aider les honnêtes gens…
Ce n’était plus un travail stable à cause de l’arrivée massive des machines qui ne semaient que malheur et précarité autour d’elles…

Souvent le soir, nous attendions son retour et lorsque nous l’entendions rentrer on se taisait, écoutant ce qu’il avait à dire… C’est qu’il était drôlement intelligent et savait pleins de choses à nos yeux si jeunes…
Il pénétrait dans la pièce, s’asseyait en silence, solitaire comme toujours…
Puis tout y passait : les riches, les patrons, les politiciens… même le bon Dieu n’était pas épargné… et quand il s’en prenait au tout-puissant, c’était les seuls fois où maman ouvrait la bouche pour l’interrompre, le rappelant à l’ordre… Elle le rouspetait et nous on était content parce qu'au moins ce n'était pas nous qui étions à l'origine de sa colère... Elle était très pieuse, lui beaucoup moins mais il faisait des efforts pour elle...
Oui, il pestait contre tout de sa voix rauque, toussant, crachant entre deux plaintes tant ses poumons étaient abîmés… le tabac qu’il consommait en grosse quantité n’arrangeait rien…
En y repensant, j’étais jeune encore, mais je ne me souviens pas l’avoir déjà vu plus d’une heure sans cigarettes à la bouche…

J’étais une gamine ça me faisait sourire de le voir râler…
Bien sûr, je ne comprenais pas la raison de sa frustration … Je n’imaginais pas que la misère nous rattrapait tandis que nos économies étaient peu à peu dévorée par nos bouche enfantines…

Le bon temps quoi...

Sans doute ne me doutais-je pas de mon futur, si terrifiant soit-il, il faut l'avouer, paut-être que si j'avais su profiter de ses instant si insignfiant soient-il a première vue, que sont juste le bonheur que l'on partage en famille.

Quoi qu’il en soit c’est Minoru, de quatre ans mon aîné qui s’occupait de nous… Je l’admire aujourd’hui et réalise malheureusement qu’il n’a pas eu une enfance facile… Nous lui en faisions voir de toutes les couleurs malgré notre profond attachement. C’était un second papa, en moins grincheux et en plus drôle qui ne distribuait ni correction et qui ne nous disputait pas…


Avec Kamika, qui avait pourtant deux ans de plus, nous étions très complice… au grand damne du petit « père » car notre connivence se renforçait plus encore lors des bêtises de l’une ou l’autre…
Mais bien sûr, c'était d'Hiro que j'étais la plus proche... On était toujours ensemble, ne se séparant quasiement jamais...
Mentalement, on se ressemblait beaucoup...

Voilà donc un aperçut de mon enfance. J’étais une fillette insouciante, ignorante du déclin de ma famille, qui adorait ses frères et sa sœur et qui voyait trop peu ses parents pour les idolâtrer comme toutes petites filles de son âge, reportant donc son admiration sur le plus vieux d’entre nous…

Le dimanche, seul jour de congés de mes parents, on allait pieusement à l’église dans notre trente-et-un. J’adorais ce jour là, même si je trouvais la messe singulièrement ennuyeuse… D’ailleurs avec ma sœur et mon jumeau, nous préférions nous amuser et papoter plutôt que de répéter bêtement après le prêtre…
Mes géniteurs s’en offusquaient mais ne s’énervaient que rarement… Ils avaient été jeunes eux-aussi… et puis papa n'était pas friand de ce genre de cérémonie non plus, persifflant que ces chrétiens étaient trop bronés, empêtrés dans des traditions qu'ils se refusaient à briser malgré la logique et les récentes révelations...
Moi et Hiro on s'en moquait, s'était une bonne ocassion de parader avec de beaux vêtements...

Je me souviens une fois au lieu d’aller prier Kamika, Hiro et moi avions fait une indigestion tant nous avions mangé de bonbons…

Puis… un jour, j’avais neuf ans, alors que maman nous avez envoyé à l’épicerie, Minoru, Mizumi, ayant aujourd’hui six ans, Hiro et moi… il y eu un tragique accident que je peine à évoquer aujourd’hui encore…
Mais cet événement est indispensable pour que vous puissiez comprendre la suite…

Je sautillais, tenant la main de mon frère, que je m'obstinais à dire plus petit en raison de sa venue plus tardive, et également tenue par ce grand de treize ans, maigre, au regard prématurément adulte mais qui détenait une beauté insolite et indéniable…
Lui, il savait, il avait conscience de nos difficultés…

Nous nous arrêtâmes devant notre destination et il s’agenouilla soudain devant nous.
J’écarquillai les yeux, perplexe : Il n’était pas du genre à m’offrir une expression si grave…
Mon jumeau avait pas l'air de comprendre plus que moi...

Malgré le belle image que je me faisais de lui, a genoux de vant moi on aurait sdi qu'il m'implorait..

A ma grande surprise ainsi que celle de mon frére jumeau, celui-ci sortit de sa poche, un oeuf, drôle de chose ne trouvez vous pas ?

"Je vous en prie, je connais votre , situation, mais par pitié, oh oui, prenez le, occupez vous de lui autant que je m'en suis occupé, jel'aime et il est ma raison de vivre, par pitié ..."

Il s'approcha de mon oreille et dit faiblement.

"Occupez vous de...mon dragon..."

Prenant ses jambes à son cou il fila a toute allure, me laissant, moi, ne réalisant toujours, pas que je détenais entre la paume de ma main, la vie d'un dragon..
Plus que surprise, je lachais la main de mon fére, ne réalisant pas encore l'étendue de mon destin...

Un destin bien envieux, celui ou j'entrais dans l'univers des dragoniers, ou je graverais mon petit nom dans l'histoire.



Quelques années plus tard,Mizukuchihi, car je l'avais appellé ainsi à cause de ses caractéristiques:

Le dragon est composé des 4 éléments qui sont présents dans le monde entier :

Mizu: L'eau (dans laquelle il nage)
Kuuki: L'air (où il vole)
Chi: La terre (où il marche, et parfois où il se cache)
Hi: Le feu (qu'il crache)
Tous ces éléments sont présents dans chaque civilisation, c'est pour cela que le dragon est présent presque partout.

Un nom bien étrange , certes, mais, qui lui siait à merveille...

"Mizu" voilà comment je le surnommais, on dragon à moi, comme l'en fant il ya environ 5 ans, il était devenu cela, oui, ma raison de vivre!
Je l'aimais ce dragon, et je l'aime toujours, j'appri alors le métier de dragonniére, que j'exercais, bien entendu avec le plus grand des plaisir.
Mes fréres et soeurs, qui m'observait survoler les montagnes, j'arriver presque a énerver les oiseau tellement je montais haut avec Mizu.
C'était un mal bien sur un dragon viril, oui, son age 5 ans, bien, mais il était déja fort et avait bien grandit.

Je me souviens du jour ou il est sorti de son oeuf et vrai petit frippon, il s'était mis a voler dans toutes la piéce, "voler" oui on dira plutôt "sautiller" !
Sous les yeux écarquillés de mon jumeau, ce dragon est l'élément qui sauva notre famille de la miére, notre famille qui était jusu'a là la plus méprisée du village, nous étions maintenant devenu..."Les dragonniers du village" même si j'étais la seulle qui utlisait Mizu, car il n'obeissait qu'à moi.


Je poursuivais ma route, rattrapant mon destin, j'étais toujours une belle adolescente, et j'avais quitter le nid, comme on dit. H'avais laisser mes parents et comme mon frére jumeau je partais a l'aventure avec Mizukuchihi, mon dragon a moi, prête a découvrir et a lui faire découvrir, d'autres races de dragon, et peut-être même le former au combat...


Dernière édition par le Lun 28 Jan - 14:22, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Ayana   Ayana Icon_minipostedLun 28 Jan - 13:58

Pouvoirs:

Ayana maîtrise son dragon cela lui suffite amplement, donc, elle est en entente parfaite avec celui-ci, ils s'adorent, ce sont de vrais amis.
Son dragon sacrifierait sa vie pour elle, et il en est réciproque.

DRAGON

Nom: Mizukuchihi

Description:

Mizukuchihi.

C' est une créature à sang chaud. Il s'adapte donc facilement à tous les climats. Toutes les espèces de dragons ont une morphologie différente. La plupart ont des écailles, mais certaines sortes de dragons peuvent être recouverts d'une rude peau.
Il a une grande espérance de vie et ne meure pas de vieillesse, mais plutôtil pourrait décéder de maladie ou de combats sanglants. Malgré la force imposante de ce dragon, la créature perd son agilité avec l'âge.
Il est d'une taille impressionante, noir, et beau, ces écailles sont lisses, et sa peau et douce.
Sees yeux sont rouges, d'un rouge, sang et lumineux, un rouge envoutant, et qui ressort come jamais face au contraste de sa couleur noire, des ténébres.
Il beau , c'est un dragon qui n'a rien a envier aux autres, un mal, noir, dans la mythologie ancienne ceci sont réputés pour être de vrai diable, mais Mizukuchihi est d'une gentillesse imcomparable aux autres, et c'est un dragon exemplaire.

Je vous mets a disposition l'image que j'ai choisie pour réprésenter Mizukuchihi.

Ayana King_b10


Dernière édition par le Mar 29 Jan - 10:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ayana   Ayana Icon_miniposted

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